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Pourquoi un ticket ne contient-il qu’une seule partie (client, entreprise, administration, etc.) ?

Dans notre système de gestion des tickets, chaque demande est strictement liée à une seule partie : un particulier, une entreprise, un copropriétaire, un mandataire, une administration, un bureau d'étude, etc. Il n’y a jamais de mélange entre des personnes ou entités aux rôles, statuts ou intérêts différents. Cette approche garantit la clarté des échanges, la confidentialité des informations et une gestion efficace des suivis.
9 mai 2025 par
Pourquoi un ticket ne contient-il qu’une seule partie (client, entreprise, administration, etc.) ?
Nathan Vandergeeten architecte, Nathan Vandergeeten


Clarifier les responsabilités et les échanges

Lorsqu’un ticket regroupe plusieurs parties avec des statuts distincts, les responsabilités deviennent rapidement floues :

  • Qui formule la demande ?
  • Qui valide les décisions ?
  • Qui doit recevoir la réponse ?

En limitant chaque ticket à un seul interlocuteur identifié, nous assurons une traçabilité claire des demandes et une gestion sans ambiguïté.


Plus d'info sur comment communiquer avec nous : lien


Préserver la confidentialité et éviter les conflits d’intérêt

De nombreux échanges contiennent des informations sensibles : remarques techniques, documents contractuels, désaccords, ou positions stratégiques. Il serait inapproprié — voire risqué — de les partager automatiquement avec d’autres parties sans mandat explicite.

Cette séparation garantit le respect de la confidentialité et permet à chacun d’échanger sereinement dans son périmètre.


Assurer un traitement fluide et ciblé

Un ticket bien ciblé permet une réponse rapide et efficace. Dès lors que plusieurs parties interviennent dans un même fil, les discussions deviennent complexes : ajouts de commentaires, divergences d’interprétation, ralentissements…

Notre méthode : un ticket = un besoin = un interlocuteur.

Et si plusieurs personnes doivent être coordonnées, nous proposons des solutions adaptées : réunion, canal partagé, ou document de synthèse. Mais toujours dans un cadre structuré.


Nous appliquons une règle simple : ni CC, ni CCI dans les échanges de tickets.

Plusieurs articles publiés par Slate.fr expliquent très bien pourquoi l’usage systématique des champs « Copie » ou « Copie cachée » est contre-productif :

Utiliser ces champs de manière non ciblée multiplie les risques :

  • confusion sur les responsabilités ;
  • diffusion non maîtrisée d’informations sensibles ;
  • ralentissement global des échanges.
Nous privilégions donc une approche plus structurée, qui repose sur des canaux directs, contextualisés, et traçables.

Autre avantage, la réduction de notre/votre emprunte carbone : Vous consommez trop d'énergie au bureau. Voilà comment l'économiser